Avril 1952
Composée à la mémoire d’un jeune homme décédé à l’âge de dix-neuf ans, cette oeuvre est destinée à soutenir musicalement par de simples accords au piano une voix annonçant les lueurs de l’« immortelle aurore » après le crépuscule du deuil.
Sur un texte malheureusement très grandiloquent de Georges-André Delaume, Saint-Martin, avec au piano de simples accords et des dessins mélodiques à peine esquissés, laisse se dévoiler dans le crépuscule du deuil, les premières lueurs de « l’immortelle aurore ».
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